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Le diagnostic, premier pas vers l'autonomie !

 

Une prise en charge globale et pluridisciplinaire a pour objectif premier d'aider la personne TSA à être plus autonome dans son quotidien et à améliorer ses compétences en communication et socialisation.

 

Le degré de sévérité des symptômes et le niveau de fonctionnement des jeunes qui présentent un TSA sont si hétérogène d'une personne à l'autre que la prise en charge est très diversifiée.

 

Un suivi pluridisciplinaire (pouvant combiner psychologue, éducation spécialisée, orthophonie, ergothérapie, psychomotricité...) permet d'accroître l'autonomie de la personne. La prise en charge doit être mise en place le plus précocement possible, et doit être globale. La formation des parents est primordiale.

 

Il arrive que le diagnostic d' autisme occulte les pathologies associées appelées aussi comorbidités : anomalies génétiques, troubles métaboliques ou sensoriels, épilepsie. Si ces comorbidités ne sont pas décelées, un accompagnement adapté qui prenne en compte l'ensemble des difficultés de la personne ne pourra pas être mis en place.

 

Les TSA ne sont pas des maladies mentales.

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Un diagnostic de psychose infantile, psychose dysharmonique, dysharmonie psychotique, dysharmonie évolutive, traits autistiques, doit être considéré comme obsolète, et constitue un obstacle aux prises en charge adaptées.

  

Source : EDI FORMATION